Le constat peut paraître surprenant, tant que la position est répandue.
Contrairement de ceux qui pensent que la jeunesse actuelle atteint sa cime avec tout ce qui trame jour après jour comme des trucs à la une.
Est-ce la modernité? Est-ce une manque de maturité qui ronge les jeunes? Est-ce la démission intense des parents?
Il y a un vieux proverbe qui dit: jeunesse et sagesse s'accordent rarement ensemble. On a pas besion trop d'éxplication pour comprendre cette allégation faisant croire que la jeunesse haïtienne se trouve dans une précarité sauvage.
On entend souvent certaines gens qui disent la jeunesse qui avait il y a de cela trente ans avait un idéal, une vision, un rêve pour s'en sortir. Mais quand on considère notre jeunesse contemporaine, on pourrait admettre qu'un pourcentage impréssionnant se laisse dominer par tous les maux du monde actuel comme: l'immoralité, manque d'idéal, violence, désœuvrement, débauche.
Prénons le cas du défi multiculturalisme qui traverse la jeunesse haïtienne de nos jours. La pluralité culturelle en elle-même n'est pas mauvaise imaginant tout ce qu'elle aurait pu apporter en terme de retombée économique. Si on prend le cas du Brazil, il n'a été le premier Pays ayant le football. Cela m'empêche qu'il a cinq coupes du monde. Il est quasiment différent pour la jeunesse haïtienne qui ne fait qu'adopter les trucs, les styles, les models maladroits et illicites venant de l'éxterieur. Pourtant le proverbe a si bien dit:
la jeunesse bouillante a besion qu'on la dirige.
Aujourd'hui on est sous le règne du rabòday, chawapete, lavelatchwa qui n'est autre qu'un fait social. Et surtout des choses qui sont parrainées par notre fameux president inculpé. C'était au vu et au su de tous qu'il ait donné la cléf d'une voiture neuve à un enfant aprèl te fin gouye Sou channmas la. En tant que jeune avisé, réscapé du système et qui veut à tout prix se sortir du lot. On ne cessera jamais de dire que notre jeunesse est sous l'emprise des réalités éxotiques.
Nous savons tous qu'il revient aux parents d'assurer la période de l'enfance de leur progéniture. Comme a dit Johann Wolfgand:on aurait des enfants bien élevés, si les parents étaient bien élevés eux-mêmes. Il n'en est pas question en Haïti, c'est du micmac total.
Les parents qui desident de fuir le Pays à cause de la situation socio-économique en laissant dans une maison un ou des enfants, ils les tuent inconsciemment. Il y en ceux qui habitent a la campagne, et envoient leurs enfants dans des grandes villes de provinces ou dans la capitale. Une forte majorité d'entr'eux échoue à cause de leur manque de capacité d'appréhender les choses, de faire face aux diverses envies ainsi qu'aux personnes racailles.
Tout ce qu'on vient d'écrire fait partie d'un panorama global qu'on éssaie de palper dans le seul but d'attirer l'attention de tous d'une situation avec laquelle on vit. Et qui devrait être prise à coeur. Car la jeunesse est entrain d'enfoncer dans un profond abime. Il nous faut des jeunes n'ayant pas un comportement laxiste capable de dire NON. Il nous faut une autre société, une autre jeunesse.
En commencant par reviser notre système éducatif. L'école doit canaliser les jeunes selon leurs capacités inées et acquises. Et en suite une restauration totale des musiques qui sont à la disposition Des jeunes. Passer des instructions formelles aux DJ et aux propriétaires de médias.
Créer des espaces de loisir dans Les villes et les sections communales capables de recevoir Des jeunes.
Organiser Des concours de génie en offrant des bourses d'études. Un stimulant qui va être utile. Car pour mieux vivre en société les gens doivent se faire sentir avec des contributions utilitaires. Comme a dit Victor Cherbulier: La société est un grand corps sans âme et sans cœur.
Garry Edouard
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